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Articles

Affichage des articles du 2013

Autopromo du mois de décembre

Et voilà, après Glamour, c'est Paris Match qui m'a demandé de témoigner. Le résultat: cette photo assassine (interdiction de sourire, m'a dit le photographe), et surtout ce texte sur le site du journal: j'y parle d' « une génération endurante qui s’adapte, se ­débrouille, se réinvente et trouve ses propres solutions. Vous verrez, un jour nous allons vous épater. » En vrai, c'était aussi ça que je voulais dire plutôt, mais bon, David Forster Wallace l'a déjà bien exprimé: [T]he real value of a real education [has] almost nothing to do with knowledge, and everything to do with simple awareness; awareness of what is so real and essential, so hidden in plain sight all around us, all the time, that we have to keep reminding ourselves over and over: ‘This is water.’ ‘This is water.’ It is unimaginably hard to do this, to stay conscious and alive in the adult world day in and day out. Which means yet another grand cliché turns out to be true: your

Autopromo du mois d'octobre

Salut les petits loups. Octobre, les arbres changent de feuille et moi d'endroit. Voilà, le site est en ligne, ici . Je ne travaille plus dans les salles de frigo mais bien dans une vraie salle à Paris, dans le 4e (qui est au sous-sol, cela dit). Merci à Beatnic qui a fait mon site et qui a fait pour lui-même celui-là. Voilà, c'est tout pour la réclame du jour. Bonne fin de journée à tous!

Hard to read

Salut à tous, Grâce à l'intervention de Marie-Salomé Peyronnel, nous voilà - moi et mon pull vert préféré - dans le Glamour du mois d'Août (p.48). Voilà, bonne lecture à ceux que cela intéresse! Peace & Oil

Perspective

Aloha les petits loups, Comme vous le savez puisque vous me fréquentez tous dans la vraie vie, en ce moment j'ai de fortes connections avec le 115. C'est-à-dire que j'ai entendu en 2 mois plus d'histoires sordides et proprement incroyables qu'en plus de temps à faire autre chose ailleurs. Ceux qui me voient tous les jours ont déjà entendu eux aussi assez pour ne plus vouloir savoir ce qui se passe parmi ces milliers de personnes qui vivent légèrement en-dessous du seuil de fréquentabilité - ce qui d'ailleurs se retrouve très facilement dans l'image que l'on se fait d'eux, assis par terre dans la rue, résignés et invisibles (puisqu'ils ne tiennent pas debout on ne les voit pas, hé, bananes). Rien ne tient debout dans toutes ces histoires. Comment se fait-il qu'ils soient autant, avec pourtant des voies d'entrée toutes différentes (cela dit la demande d'asile et l'alcoolisme restent les deux voies les plus sûres pour se retro